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Jeudi 12 juillet, en route pour la capitale

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Vol la veille Toulouse-Madrid et Madrid- Lima. Avions à l'heure, RAS !
Décalage de 7 h et travaux toute la nuit dans l'hôtel… Grisaille au réveil, c'est l'hiver…bienvenue au Pérou.

 

Cette ville de 10 millions d’habitants (1/3 de la population péruvienne) est très étendue, partitionnée en districts et grouille d'une animation frénétique. La circulation est complexe, c'est la loi du plus téméraire. Klaxons permanents, véhicules arrivant dans tous les sens, forçant le passage, mais personne ne s'énerve. 30 000 bus sillonnent la ville, étendue sur 40 km. De quoi se déplacer à moindre frais...

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Lima est située au bord du Pacifique et ne comprend que 2 saisons (été-hiver). La température minimale est de 13 degrés. Beaucoup d'humidité et une belle végétation. La ville moderne est sûre, identique aux grandes villes européennes, mais certains quartiers sont à éviter. Dans la banlieue, beaucoup de bidonvilles…Dès que l'on quitte Lima, la pauvreté saute aux yeux.

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A midi, nous prenons le repas dans la rue. Un coffre de voiture sert de cantine…. Une boisson réalisée à partir d’herbes locales nous est offerte. Nous acceptons et verrons bien par la suite. Dans la rue, des péruviennes vendent des feuilles de coca à mâcher (contiennent des minéraux et permettent d’atténuer le mal des montagnes)

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Cette après-midi, direction Paracas. Le bus est digne d’un hôtel 3 étoiles (siège lit, télévision, collation et hôtesse aux petits soins). 

Joël Robuchon

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